Benjamin Camps, Thomas Gimie et Christina Gollins

Questions pour les deux amis :

* comment allez-vous définir votre positionnement ? par exemple, la proposition d’Apo est « un tournoi près de chez vous » avec une très belle structure pour le prix.

* Si on analyse froidement le marché parisien, aucun club n’a plus de quinze tables de tournois, les tournois sont toujours complets et peuvent accueillir plus de monde et créer des festivals attractifs, mais en même temps, à part le WPT, personne n’a réussi à trouver un formule rentable en louant une chambre à l’extérieur du club puisque cela n’a jamais été refait. Avez-vous des astuces pour résoudre cette équation ?

* Question subordonnée, voyez-vous davantage votre activité en province avec des casinos qui ne connaissent pas ou peu l’organisation d’événements ou à Paris des structures d’accompagnement qui ont déjà une bonne expérience.

* Vous voyez-vous comme des prestataires de services pour des clubs/casinos/salles de poker, ou comme des investisseurs qui veulent prendre des risques financiers dans l’organisation de festivals ?

* A votre avis, pourquoi Léon arrive-t-il à faire 500 bals chaque week-end avec 3000 joueurs dans un village de 600 habitants, et pourquoi à Paris est-il difficile de dépasser les 400 joueurs ? (vous allez me dire qu’il manque des m², mais sachant que les tournois peuvent être déplacés, cette excuse n’est pas totalement permise !)

* Pensez-vous que le rake de 4% du prizepool sur les tournois est un frein à l’organisation de grands événements en France comme l’EPT ou le partypoker Millions (et aussi le rake de 4% qui n’est pas limité en cash).