Énergie nucléaire | Projets Casinos | forces spatiales

Dans la revue de presse du jeudi 8 décembre, nous évoquons le retour au nucléaire, les retards des casinos et la force spatiale.

Centrales nucléaires

Le ministère de l’Industrie a préparé des lignes directrices pour une plus grande utilisation de l’énergie nucléaire. Cette décision marque une rupture nette avec la politique officielle depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011. Parmi ces orientations clés figure la coopération de toutes les parties concernées pour redémarrer les réacteurs hors ligne ou développer une nouvelle génération de réacteurs pour remplacer ceux qui ont été déclassés. Le ministère envisage également de prolonger la durée de vie des réacteurs au-delà de 60 ans. Tant dans le cadre de l’objectif de neutralité carbone que dans le contexte actuel, le nucléaire apparaît comme l’énergie de demain pour le Japon.

Pas encore de casinos

Le ministère du Territoire a déclaré qu’il serait difficile de se prononcer d’ici la fin de l’année sur les propositions des départements d’Ôsaka et de Nagasaki pour accueillir des complexes hôteliers, dont des casinos. Cela pourrait retarder l’ouverture de ces établissements, prévue pour 2027 et 2029. Les casinos ont été légalisés en 2018 pour relancer le tourisme et l’économie locale. Cependant, le débat s’est poursuivi au milieu des questions sur la dépendance au jeu et la viabilité de tels projets, entre autres, alors que le Japon a été durement touché par la pandémie de coronavirus.

Direction l’espace

Le gouvernement envisage de changer le nom de la défense aérienne pour inclure le mot « espace ». Cela devrait refléter l’importance croissante de ce domaine dans la sécurité. Il avait déjà créé le Space Operations Squadron en mai 2020, une unité qui surveille l’espace pour protéger les satellites japonais des attaques ou des débris. Ce changement à venir découle également de la nécessité de renforcer considérablement les forces japonaises en réponse au développement spatial de la Chine et au programme de missiles de la Corée du Nord.

Quel est le prix de l’uranium ?

FormulationLe cours+Bas
Gaz naturel5 580 $5 580 $
Huile de Brent78 660 $77 740 $
Huile WTI73 660 $72 770 $
Uranium U30847 000 $45 000 $

Pourquoi le prix de l’uranium augmente-t-il ? Les analystes de Bank of America prévoient une augmentation du prix de l’uranium en 2023, passant de 48 dollars actuels à 70 dollars la livre. La banque a cité les problèmes d’approvisionnement et le soutien croissant à l’énergie nucléaire comme les principales raisons de l’augmentation des prix.

Comment l’uranium est-il vendu ? Internet : Le site Uranium Online commercialise des crayons de combustible nucléaire, mais assure que la marchandise est entre de bonnes mains. Cela ressemble à eBay ou iBazar.

Quel est le prix d’un kg d’uranium ? Combien coûte l’uranium ? L’uranium n’est pas une ressource très chère. En 2017, 1 kg d’uranium brut (sans transformation) coûte 80 euros. A titre de comparaison, 1 kg d’argent vaut environ 500 euros et 1 kg d’or vaut 30 000 euros.

Où la France achète l’uranium ?

La France s’approvisionne d’abord en uranium au Niger, où la société française Areva, rebaptisée Orano, exploite des mines à ciel ouvert. Le reste vient principalement du Kazakhstan et d’Ouzbékistan, d’Asie centrale et un peu d’Australie. Il n’y a pas d’importation officielle d’uranium de Russie.

Quel pays est le plus riche en uranium ? De nombreux pays produisent de l’uranium, notamment en Amérique du Nord et en Asie. Les principaux producteurs sont le Kazakhstan, le Canada, l’Australie et la Namibie, qui représentent près de 80 % de la production mondiale.

Qui fournit l’uranium en France ? En France : En Australie, au Kazakhstan et au Niger, le ministère de la Transition énergétique, contacté par CheckNews, indique que l’approvisionnement de la France repose désormais sur « diverses sources situées principalement en Australie, au Kazakhstan et au Niger en 2021 », sans donner de détails sur les volumes importés.

Quels sont les avantages du nucléaires ?

Il n’émet pas de CO2, mais de la vapeur d’eau ; Il est disponible toute l’année; Il n’est pas cher à produire et peut produire de grandes quantités d’électricité ; Les installations nécessaires à sa production ont une durée de vie assez longue, environ 40 ans.

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