Les déclarations de Jean-Pierre Farandou sur la ligne Paris-Brest continuent de susciter de vives réactions. Après Bernadette Malgorn, qui soulignait « le manque d’importance », François Cuillandre, président de Brest Métropole, écrivait récemment au président de la SNCF ?. « J’ai été surpris (…) de lire ce que je perçois dans vos propos comme une remise en cause de la finalité de Brest-Paris en trois heures », raconte le maire, qui rappelle également un fait : « En réalité, aujourd’hui il a un temps de trajet moyen. entre Paris et Brest/Quimper est aujourd’hui de près de quatre heures et rend difficile voire impossible d’effectuer un aller-retour dans la journée.Ce constat est largement diffusé depuis de nombreuses années par tous les élus (…), la question de l’accessibilité à la pointe de la Bretagne, qu’elle soit portuaire, aéroportuaire ou ferroviaire, reste un enjeu important et une condition essentielle de son développement et de son attractivité ».
« Pas une promesse, mais un engagement de l’État »
Le président de Brest Métropole rappelle tout d’abord à l’Etat ses obligations. « Brest/Quimper, à trois heures de Paris et à une heure et demie de Rennes, est un engagement de l’État, inscrit dans le pacte accessibilité et mobilité pour la Bretagne, et qui reste l’un des objectifs du projet LNOBPL (Nouvelles liaisons Ouest). Bretagne – Pays de la Loire). C’est pour contribuer à la réalisation de cet objectif que Brest Métropole et les collectivités de la pointe Bretagne ont participé aux investissements passés qui ont permis d’améliorer le temps de trajet entre Rennes et Paris » .
Pas la même approche selon les régions
Autre argument soulevé par l’élu de Brest : la « différence d’approche » du patron de la SNCF entre ce dossier et d’autres sur le territoire. En juin 2021, le patron de la SNCF déclarait à propos des projets LGV Bordeaux-Toulouse, Montpellier-Perpignan et de l’extension de la LGV à la Côte d’Azur : « Je suis heureux que le gouvernement ait donné une réponse favorable aux demandes de les élus du sud-ouest (…). Cela offre une alternative à l’avion (…). D’ailleurs, vous l’avez entendu de mon accent, je ne peux qu’être favorable au fait qu’on accélère les déplacements vers le sud-ouest… ».
« Ce qui vaut pour ces régions vaut aussi pour la Bretagne », conclut François Cuillandre, rappelant que « le développement d’un transport ferroviaire performant est essentiel (…) pour l’attractivité et le dynamisme de la Bretagne occidentale (…) et en cela qu’il faut transition. qu’il faut accélérer ».
Qui a créé le cyclisme sur route ?
En 1896, le cyclisme sur route est présent aux premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne organisés à Athènes. Le 15 janvier 1870, le Veloce Club Fiorentino est fondé par le président Gustave Langlade.
Quelle est l’origine du mot vélo ? Étymologie. (1886) Mot dérivé de cycle, avec le suffixe -ismo.
Qui a créé le cyclisme ?
Le cyclisme moderne tire d’abord ses origines d’une invention de l’ingénieur allemand Karl Drais.
Où a été inventé Le Vélo ?
Pourquoi Dit-on bonne sœur ?
Une religieuse, religieuse ou nonne, aussi appelée « sœur » ou même familièrement « bonne sœur » lorsqu’elle travaille dans la santé ou l’assistance, est une femme membre d’une communauté religieuse féminine, devant généralement obéir aux vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance.
Quelle est la forme masculine de nonne ? Une nonne masculine. Nonne noire. Chenille des nonnes, revers.
Où vivent les sœurs ?
CONVENTION. 1. (Construction) Un bâtiment qui abrite une communauté religieuse de religion chrétienne.
Comment appeler une bonne sœur ?
Lors d’une présentation officielle, une sœur doit être appelée « Prénom de la sœur du nom commun ». Lors d’une conversation directe, appelez-la « Sister first and last name » ou « Sister » en abrégé. S’il s’agit d’une lettre, nommez-la avec « Nom et prénoms de la Révérende Sœur initiales de sa communauté ».
Quel est le rôle d’une bonne sœur ?
Une religieuse, religieuse ou nonne, aussi appelée « sœur » ou même familièrement « bonne sœur » lorsqu’elle travaille dans la santé ou l’assistance, est une femme membre d’une communauté religieuse féminine, devant généralement obéir aux vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance.
Qu’est-ce que le gâteau Paris-brest ?
Le Paris-Brest est une pâtisserie française, en forme de couronne, composée d’une pâte à choux fourrée à la crème pralinée et aux amandes effilées. Inspiré de la course cycliste entre Paris et Brest, le chef pâtissier Louis Durand de Maisons-Laffitte crée ce gâteau en 1910.
Qui a inventé le gâteau Paris-brest ? Imaginée par Pierre Giffard, alors rédacteur en chef du Petit Journal, quotidien parisien, et pionnier de la presse sportive, la course cycliste allant de Paris à Brest et retour à Paris (c’est vrai !) est inaugurée en 1891 .
Quelle est l’histoire du gâteau Paris-brest ?
Paris-Brest : gâteau pour une course cycliste On raconte que le Paris-Brest a été inventé par un pâtissier de Maisons-Laffitte, près de Paris, en hommage à la célèbre course cycliste qui en était à ses tout débuts.
C’est quoi la crème du Paris-brest ?
Le Paris-brest est une pâtisserie traditionnelle d’origine française, en forme de roue de bicyclette pour rendre hommage à la course cycliste Paris-Brest-Paris. Il est composé d’une pâte à choux croustillante garnie d’une crème mousseline pralinée, parsemée d’amandes effilées.