« Je connais les difficultés de cette ligne. J’en ai vécu plusieurs, alors maintenant je prends quelques précautions avant d’acheter un billet et de monter dans le train », explique cet usager licencié.
Et voici la liste ! Cela peut aussi être un bon conseil avant de rejoindre la capitale via le réseau ferroviaire…
« Désormais, je ne prends plus le train de 19h pour rentrer à Clermont. Il semble que, statistiquement, il soit celui qui connaît malheureusement le plus d’aventures. Aussi, l’année dernière, je me suis retrouvé là-dedans. Et quand nous étions sur le quai avant de quitter Bercy, la SNCF annonçait déjà un retard de 45 minutes. J’ai senti le choc venir. J’ai préféré descendre du train et prendre une chambre dans un hôtel en face de la gare. Le lendemain, je me suis rendu compte que le train que je devais initialement prendre avait beaucoup plus de complications et j’ai bien fait de passer une nuit tranquille à l’hôtel. »
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Une autre disposition que prend Philippe Métais est de partir la veille, en cas de rendez-vous professionnel important. « Il n’y a plus de risque d’être en retard ou de manquer un entretien ou une réunion », précise-t-il.
Rester un fervent usager malgré tout…
Pour le WiFi, même ce voyageur ordinaire n’y compte pas… faire du partage réseau avec mon téléphone portable. »
Enfin, ce voyageur habitué à emprunter la ligne TGV Paris-Lyon n’attend pas les mêmes prestations qualitatives que celles de la ligne à grande vitesse.
« Il n’est pas rare que les poubelles ne soient pas vidées, que les toilettes ne fonctionnent pas… On le sait. »
Malgré tous ces risques, cet Auvergnat reste un fervent utilisateur de la ligne Clermont-Paris. « C’est une façon de se déplacer qui respecte l’environnement, mais qui permet aussi d’avoir quelques heures d’avance pour travailler ou se reposer. « Savoir s’adapter, c’est tout…
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