Qui sait si l’heureux gagnant ne sera pas amené, la fortune constituée dans le meilleur casino en ligne, à devoir déposer sa fortune dans l’un des plus grands gestionnaires de fonds au monde ? À toutes fins utiles, nous pouvons investir un peu de notre immense intérêt dans la poursuite des plus grands centres de gestion de patrimoine au monde, en nous invitant à fréquenter ce club très exclusif.
Gros et petits poissons dans les Hedge Fonds
La communauté des gestionnaires de fonds se diversifie et revitalise, avec de petits investisseurs entrant sur le marché. Ces activités créent une pression moindre sur les frais et commissions. Mais, comme à l’accoutumée, le niveau d’exigence reste élevé, par rapport aux plus-values.
En règle générale, les grands gestionnaires de fonds sont responsables de milliards de dollars d’actifs, et leur influence avérée fait dépendre d’eux d’autres fonds moins connus. La croissance de certains gestionnaires de fonds leur a permis de réaliser des bénéfices, qui se situent entre 835 millions et 1,8 milliard de dollars par an.
La plus-value, vitrine des gestionnaires visant l’excellence
Le niveau des plus-values permet de satisfaire le grand nombre d’actionnaires désireux d’augmenter leur investissement, tandis que le gérant est en mesure d’identifier les meilleures opportunités de marché.
Ce mouvement, qui assure la réputation des grands gestionnaires, leur permet d’accumuler plus d’actifs sous gestion et de percevoir des revenus encore plus importants.
Quels sont les grands noms de la gestion financière ?
Dans les 12 premiers groupes, on constate sans surprise que 9 gérants de fonds sont américains, un fonds est suisse, un autre est allemand et le seul fonds français s’appelle Amundi à la 12ème place. Grosse surprise, parmi les rédacteurs, il n’y a pas de fonds britannique, malgré l’importance importante et forte de la Bourse de Londres (FTSE 100 UKX), l’une des bourses européennes.
Blackrock, avec 70 bureaux, est le plus grand, avec 9,07 billions de dollars d’actifs. Ce fonds n’a cessé de croître au cours des vingt-cinq dernières années de fonctionnement. C’est le plus grand fournisseur de fonds négociés en bourse (ETF) et un conseiller avisé du gouvernement américain, lors des plus grandes crises financières de ces dernières années, depuis la crise des subprimes de 2008.
Vient ensuite le groupe Vanguard, avec 20 implantations dans le monde, pour employer 17 000 salariés et le deuxième fournisseur de fonds d’échange, après Blackrock, bien sûr.
Une unique société française dans le top 12
Les parts de marché de chacun se répartissent comme suit (selon la valeur anglo-saxonne des « trillions » équivalent à mille milliards) :
Les gestionnaires de fonds ne sont guère impliqués dans la gestion quotidienne des fonds fiduciaires, mais ils investissent selon de nombreuses stratégies, aussi complexes qu’astucieuses. Nous avons surtout Jim Simons, surnommé « Quant King ». Ce calculateur a utilisé des modèles mathématiques complexes et une analyse mathématique sophistiquée, ce qui lui permet d’identifier la meilleure décision dans une situation de marché particulière.
Il a créé le coffret phare appelé Médaillon, rappelant les meilleurs Cognacs, qui depuis 1998 a maintenu un niveau extraordinaire de 39% de collecte par an en moyenne. La performance à ce niveau nécessite l’aide des meilleurs techniciens, qu’ils soient mathématiciens, physiciens ou cryptographes.
La diversification des fonds est le maître-mot
Selon le profil de l’investisseur, le fonds offrira une large gamme d’options, de sorte que :
Tous les types de produits sont inclus dans les différents types d’investissements : actions, obligations, fonds monétaires, matières premières (et or), produits dérivés, fonds communs de placement et ETF (fonds négociés en bourse).
Ces fonds sont ensuite répartis sur plusieurs grandes zones de la planète, afin de réduire la perte de l’investissement, en cas de problème dans une zone particulière.
Les gestionnaires de ces fonds sont désormais concurrencés par la FinTech, qui développe de puissants algorithmes, via des robots-conseillers, capables d’investir dans des fonds indiciels cotés à moindre coût.