Trois conseils pour contrer un joueur extrêmement agressif

Depuis l’invention du poker, les meilleurs joueurs ont toujours su que l’agressivité était l’une des clés du succès.

Cette astuce s’est propagée aux joueurs récréatifs, même à des limites basses, de nombreux joueurs sont très agressifs. Il a donc fallu trouver un moyen de s’adapter.

Heureusement, de nombreux joueurs agressifs manquent également d’expérience et ne réagissent pas aux contre-attaques. Voici quelques recettes pour punir les joueurs qui passent du mauvais côté de l’agressivité

1. Check-raise en début de parole

1. Check-raise en début de parole

C’est l’étape que j’utilise quand je supprime le poste et appelle toute la tribu. Quand je suis dans cette situation, je ne fais pas de continuation bet si je ne suis pas prêt à relancer. Si je ne suis pas d’humeur à frapper beaucoup de barils, je vérifie ce qui se passe… et si l’action est trop forte, je m’éloigne.

Vérifier le flop dans le pot long après avoir ouvert le conflit apporte des opportunités. Dans les jeux à faible limite, les joueurs appelleront un continuation bet avec une paire et parfois une égalité au second rang. Ils veulent voir s’ils vont réparer la torsion avec leur main. Donc si je mise et que le tournant m’empêche de doubler, je me retrouve dans leur ligne.

Parfois, je m’assure de pousser les joueurs les plus agressifs à l’arrière pour parier. Je peux l’utiliser comme levier et le soulever lorsque le sol me revient. Les joueurs pris au milieu n’ont souvent pas assez de mains pour continuer s’ils ne misent pas eux-mêmes après le check…tout le monde en position de pari touche généralement.

Donc, j’ai généralement des rides générales. Parfois, ils sont collants donc je ne fais jamais ça sans avoir la possibilité de réparer ma main. Je mélange les pratiques avec les valeurs (celles qui battent mal la paire supérieure).

Un autre avantage du chéquier est qu’il ne permet pas aux personnes ayant des tirages de continuer. Ces derniers s’avèrent être les joueurs qui aiment leur mauvais partenaire aux côtés de qui verront le match nul leur coûter cher car ils sont souvent battus.

2. Je relance plus fort en fin de parole

2. Je relance plus fort en fin de parole

Pour embarrasser les maniaques qui 3-bet trop, j’augmente ma taille de mise en position arrière. J’ai ouvert le big blind 3 ou 4 fois en position tardive, regardez le MP… Je ne fais pas la position hâtive car ma sélection de main est difficile et je n’ai aucun problème à obtenir un 3-bet.

Quand j’ouvre la position tardive en force, je force les gens avec des tapis moyens à faire tapis s’ils veulent 3-bet… C’est vraiment difficile de « mesurer » un 3-bet qui ne les forcera pas à venir. . mon éléphant 4-bet.

3. Faire Tapis en fin de parole

3. Faire Tapis en fin de parole

La plupart des gens entrent directement lorsque leur tapis tombe à 10-15 blinds. Si j’ai derrière moi des joueurs très agressifs qui vont profiter des ouvertures légères quand j’ai 16 à 21 blinds, je ne me gêne plus et j’ouvre quand je suis dans cette zone.

Il n’est jamais idéal de faire tapis avec 20 blinds, mais je trouve plus logique de relancer 10 % de mon tapis quand je suis short et que j’ai une main utile pour ouvrir avec un graphique de Nash.

En gros, avoir le dernier mot sur un joueur agressif l’empêche de vous mettre dans une situation difficile. Faites attention à ouvrir les mains les plus douces sur le tableau lorsque vous jouez 16-20 blinds, vous serez plus rentable si vous n’ouvrez que les frais. De plus, les mains les plus fortes de votre éventail protègent les mains légèrement plus faibles, si vous ne choisissez que l’extrémité inférieure de votre éventail, certaines pelles deviendront EV-.

En fin de compte, j’appelle mes mains les plus fortes pour swinguer et je vais efficacement relancer-coucher mes mains les plus faibles dans une variété. Je n’entrerai que dans toutes les mains moyennes de mon range, des mains qui sont encore un peu fortes pour bien agir dans le range opposé.

Conclusion

Conclusion

Le poker moderne est un jeu qui récompense l’agressivité et même les joueurs à limite inférieure sont de plus en plus agressifs. Profitez du manque de contrôle de l’adversaire, pour jouer avec le feu que vous brûlez !

Pensez à une stratégie contre-agressive et exploitez les failles de cette stratégie extrême utilisée par vos adversaires. Je trouve que celui qui joue en dernier gagne généralement, j’essaie de ne pas leur laisser d’autre choix que de se coucher et de choisir une autre victime.

Photo : « Big Chip Stacks », World Poker Tour, CC BY-ND 2.0.

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